ET PUIS ... C'EST TOI
(Michaele / L. Sebastian 1972)
Dalida (France)
Comme un oiseau blessé qui ne sait plus chanter
Comme une corde de guitare qui vient de se briser
Comme un soleil qui meurt en pleins cœur de juillet
Comme une ombre qui pleure sans savoir ou aller
Comme un jour ou l'espoir n'est plus qu'un souvenirs
Comme un jeu de miroir d'ou l'on ne peut sortir
Comme une fleur arrachée par le vent et la pluie
Comme une heure arrêté au cadran d'une vie
Et puis c'est toi
Toi qui ne sera rien de tous cela
Tu es venu
Avec de l'amour jusqu'au bout des doigts
Je tend les bras, tu viens
Et je m'étonne à chaque fois
Mon amour
Comme un hiver sans fin qui n'attend plus l'été
Comme l'image d'un matin qu'on ne peut oublier
Comme la voix du silence qui vient nous crucifier
Comme un soir ou l'absence est trop lourde à porter
Comme un chemin de pierre qui mène à la dérive
Au milieu de la mer ou nul ne peut nous suivre
Quand le courant nous tire le hasard nous retiens
On s'éveille en délire du sable dans le main
Et puis c'est toi
Toi qui ne sera rien de tous cela
Tu es venu
Avec de l'amour jusqu'au bout des doigts
Je tend les bras, tu viens
Et je m'étonne à chaque fois
Mon amour
Et puis c'est toi
Toi qui ne sera rien de tous cela
Tu es venu, avec de l'amour jusqu'au bout des doigts
Je tend les bras, tu viens
Et je m'étonne à chaque fois
mon amour.