IL Y A TOUJOURS UNE CHANSON
(S. Lebrail / P. Sevran / A. Costandinos, 1976)
Dalida (France)
Cette année là c'était la guerre dans la gare du quai en pleurant
Quand mon père embrassa ma mère je n'étais encore qu'une enfant
Un âge ou l'on ne comprends pas et l'on chantait cette année là
Et l'on chantait cette année là...
Il y a toujours une chanson accrochée à nos souvenirs
Il y a toujours une raison, qu'elle nous fasse pleurer ou sourire
Cette année là le mois de mai avec des drapeaux pleins le ciel
Nous ramena ceux qu'ont aimaient mais pas celui qu'on attendait
Devant ce monde fou de joie cachant nos larmes on chanta
Ce qu'on chantait cette année là
...
Il y a toujours une chanson accrochée à nos souvenirs
Il y a toujours une raison, qu'elle nous fasse pleurer ou sourire
Cette année là j'avais seize ans je portais encore des lunettes
J'ai décidé en le voyant de les jeter par la fenêtre
J'aimais pour la première fois et l'on chantait cette année là
Et qu'on chantait cette année là
Il y a toujours une chanson accrochée à nos souvenirs
Il y a toujours une raison, qu'elle nous fasse pleurer ou sourire
Les années suivent les années mais les chansons ne meurent pas
Un jour ce fut ma grande année et c'est à vous que je la dois
Car après m'avoir adoptée vous avez chanté avec moi
Et l'on chantait cette année là...
Mon petit Bambino...
Il y a toujours une chanson accrochée à nos souvenirs
Il y a toujours une raison, qu'elle nous fasse pleurer ou sourire
Il y a toujours une chanson accrochée à nos souvenirs
Il y a toujours une raison, qu'elle nous fasse pleurer ou sourire.