L'AMOUR QUI VENAIT DU FROID
(B. Bergman / P. Juvet, 1972)
Dalida (France)
Il était venu comme une étoile
Pareille à celle des nuits de neige
Le vent froid de sa steppe natale
Lui parlait comme une mère, une mère
C'était mon rêve, c'était illia
C'était l'amour qui venait du froid
Comme la neige, j'ai suivi ses pas, comme la neige
C'était mon rêve, c'était illia
C'était l'amour qui venait du froid
Son cœur decembre à brûler mes doigts
Mon cœur j'en tremble
Il n'avait pu se faire à l'idée
Que mon pays fait parfois l'été
Au doux soleil des mille ciel bleus
Il me demandait de faire, un grand feu
C'était mon rêve, c'était illia
C'était l'amour qui venait du froid
Comme la neige, j'ai suivi ses pas, comme la neige
C'était mon rêve, c'était illia
C'était l'amour qui venait du froid
Son cœur decembre à brûler mes doigts
Mon cœur j'en tremble
C'était mon rêve, c'était Illia
C'était l'amour qui venait du froid
Un jour peut-être il me reviendra
Comme une fête
Un jour peut-être, dans une gare
Ou sur la route, fleur du hasard
Il reviendra me parler du froid, il reviendra
La, la, la...
Nieza boudou ya capilo cibia
La, la, la...
Snegorouska.