MADONA
(C. Velho / Piratini / M. Lanjean 1956)
Dalida (France)
Vierge de la mer toi qui me tends les bras
Sainte au voile d'or je crois encore en toi
Toi la vierge noir aux mains ganté de lumière
Dis-moi que la mère sera clémente pour moi
Les femmes du port qui guette le ciel lourd
Les femmes aux voiles noir aux ailes de vautour
Ont vu au ciel des morts passer sa barque frivole
Dis-moi que les femmes du port
Sont des folles
Madona, Madona
Ramène dans le port
La voile blanche de mes amours
Réveille dans mon cœur
La foi brûlante des beaux jours
Ramène dans le port
La voile blanche de mes amours
Réveille dans mon cœur
La foi brûlante des beaux jours
Ne me dite pas
Qu'il est trop loin pour m'entendre
Je vois son visage quand je ferme les yeux
Vierge de la mer prend garde à mon chagrin
Si l'orage est plus fort que ton regard divin
Au village on dira que tu n'es pas notre mère
Que tu n'es que statut de bois sans mystère
Madona, pardonne
Ramène dans le port
La voile blanche de mes amours
Réveille dans mon cœur
La foi brûlante des beaux jours
Ramène dans le port
La voile blanche de mes amours
Réveille dans mon cœur
La foi brûlante des beaux jours
Vers toi notre prière... monte.
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BARCO NEGRO
(David Mourão Ferreira / Piratini / Caco Velho)
Amalia Rodrigues
De manhã, que medo
Que me achasses feia,
Acordei tremendo
Deitada na areia.
mas logo os teus olhos
Disseram que não
E o sol penetrou
No meu coração ( bis )
Vi o depois, numa rocha
Uma cruz
E o teu barco negro
Dançava na luz,
Vi o teu braço assenando
Entre as velas já soltas
Dizem as velhas na praia...
« Que não voltas... ! »
_ São loucas... ! ?
São loucas...
Eu sei meu amor
Que não chegaste a partir
Pois tudo em meu redor me diz
Que estás sempre comigo
No vento que lança
A areia nos vidros
Na àgua que canta
No fogo mortiço.
No calor do leito
Dos bancos vazios
Dentro do meu peito
Estás sempre comigo