MON SEUL REFUGE
(R. Cocciante, Gaïo Chiocchio, Fr: Pierre Delanoë / François Bernheim, 1995)
Nicoletta (France)
Quand la cité s'endort à coup de somnifères
Quand il ne me reste plus rien à faire
Que d'écouter les bruits de l'enfer
Qui reviennent
Quand les nouvelles du monde se font grises
Au lieu de penser à faire mes valises
Changer de religion, fuir les églises et mes chaînes
Alors mon refuge, mon refuge, mon refuge
C'est toi
Je n'ai jamais rien trouvé de plus excitant
Que cet instant de vie à cœur battant
Où je me jette vers toi en oubliant
Mes problèmes
Et je n'ai plus besoin de soleil ni de lune
De piano, de guitare ou de plume
Je connais le secret de la fortune qui est la mienne
Mon seul refuge, mon refuge, mon refuge
C'est toi
Oublie mon refuge, mon refuge et mon seul juge
C'est toi
On peut bien m'étouffer de fausses embrassades
Me noyer de musique et de mascarade
Tu es ma passion et pas ma xxxxxx
Mon élève
Et si quelqu'un me parle encore de toi
En bien, en mal ou en n'importe quoi
Mais si depuis longtemps tu n'es plus là
Dans mes veines
Oh mon refuge, mon refuge, mon refuge
C'est toi
Comment peut-on savoir ce qu'importe le jour
Du côté jardin ou du côté cour
Tu seras mon premier mon dernier amour
Et je t'aime
Car mon seul refuge, mon refuge,
Mon seul refuge, c'est toi